TRANS IBRIDA

3D immersive | Gestion de projet | Scénographie immersive

Dispositif immersif et sensoriel qui questionne l’hybridation entre la nature, l’Homme et le numérique

| Présenté à l’Espace Larith de Chambéry

  • En quoi et comment se construit le rapport de proximité et d’interdépendance entre l’humain, la nature et le numérique, amenant ainsi la question d’hybridation dans une réflexion posthumaniste ?

« Moodboard vidéo et teaser final forment en eux deux l’essence même du projet »

Ce projet de fin d’études, mené dans le cadre de ma 3ᵉ année de licence en Information et Communication à l’Université Savoie Mont Blanc, explore les thématiques de l'urbain et de l'environnement. Présenté pendant une semaine dans la galerie d’art « Le Larith », ce dispositif interactif et immersif visait à engager les visiteurs dans une expérience unique.

Une immersion interactive et sensorielle :

Conçu en 3D immersive, ce projet offrait au visiteur l’opportunité de devenir acteur d’un écosystème hybride. En manipulant des plantes reliées à un ordinateur, les visiteurs pouvaient interagir avec un monde numérique projeté sur des écrans. En tweetant avec les hashtags #larith ou #transibrida, ils créaient des interférences symbolisant l'impact du numérique sur l'environnement. Ils pouvaient également agir directement dans la scénographie physique en plantant des pousses, symbolisant une connexion tangible entre leurs actions et l'espace.

Un questionnement sur les interconnexions :

Ces interactions, mêlant les sphères tangible et immatérielle, invitaient à réfléchir sur l’impact durable de l’humain, du numérique et de la nature, tant sur les écosystèmes que sur la société. À travers cette expérience, le projet questionnait la manière dont ces éléments interagissent et transforment notre monde.

Pour aller plus loin :

Une musique originale, composée par Hugo Desestret, accompagnait le dispositif pour enrichir cette exploration immersive.